"Je ne solliciterai pas un nouveau mandat auprès des Rochelais pour l'élection municipale de 2014". Maxime Bono, maire de La Rochelle et président de la Communauté d'Agglomération a procédé avec tact, réservant la veille, la primeur de sa décision aux militants du P.S avant de la rendre publique, vendredi 10 mai 2013. Si cette position risque de décevoir celles et ceux qui espéraient encore qu'il rempile, elle est conforme à celle attendue. Plus que la confirmation de sa non-candidature, c'est bien sa divulgation, faite aujourd'hui par Maxime Bono qui crée l'événement. En actant ainsi son retrait, l'édile ouvre officiellement sa succession, laquelle ne sera pas facile. Le choix de la date, le calendrier, les motivations, rassemblement vs division, primaire interne vs primaire ouverte, Jean-François Fontaine... Maxime Bono s'exprime, se positionne et s'explique. Également : le rappel du contexte ; l'impact, ou pas, du duel fratricide Ségolène Royal - Olivier Falorni.
© photo ubacto.com - Maxime Bono, maire de La Rochelle
Une décision personnelle : le temps de la transmission
À celles et ceux qui, dans les cercles avertis, auraient la mémoire courte ainsi qu'aux citoyens qui ne sont pas toujours dans les confidences, rappelons que Maxime Bono s'interroge depuis longtemps sur la pertinence d'un troisième mandat. Il a souvent été question de son âge, calculant que, né en 1947, il aurait plus de 70 ans à la fin de celui-ci. Trop tard, selon lui pour reprendre sa liberté.
En 2014, il aura consacré 32 ans à "faire la course en tête" avec et pour La Rochelle. Il lui semble aujourd'hui qu'il est temps de refermer ce grand chapitre de sa vie. Celui d'une aventure humaine et politique partagée avec les Rochelais depuis qu'en 1982 il a rejoint Michel Crépeau avant de devenir son premier adjoint en 1989 et de lui succéder à sa disparition en 1999. En 2001 et en 2008, c'est au premier tour qu'il est élu, puis réélu maire de La Rochelle.
Dans son message aux militants du P.S, la principale raison qu'il invoque pour expliquer son retrait est : "qu'il faut savoir arrêter même les tâches les plus passionnantes", lesquelles "n'arrêtent pas le temps qui passe". Il rappelle aussi que : "conduire une ville demande une immense énergie si l'on ne veut pas voir décliner la capacité à imaginer, à dialoguer, à innover". Concluant ce passage par : "La Rochelle mérite de faire encore longtemps la course en tête". Il estime donc que le temps de la transmission, du passage de témoin est arrivé.
Législatives 2012 : l'impact du duel à gauche
Dans la 1ère circonscription de Charente-Maritime où Maxime Bono qui ne briguait pas un nouveau mandat de député au mois de juin 2012, un duel fratricide a opposé deux figures du P.S. Ségolène Royal, candidate officielle, désignée par le parti et Olivier Falorni, candidat dissident, ex-Premier secrétaire fédéral qui l'a largement emporté.
Au sein de la section locale du Parti socialiste, il semble qu'il faut encore un peu de temps pour cicatriser les plaies ouvertes lors de ce rude face-à-face. Pour certain(es), "les couteaux dans le dos piquent encore".
Reste que la décision de Maxime Bono est plus déconnectée de cet "épisode" épineux qu'on voudra sûrement le faire croire. Celui-ci aurait même pu l'amener à la modifier. Nombre de Ségolénistes ou anti-Fountaine et anti-Falornistes ont tenté, jusqu'aux derniers jours, de le convaincre de se représenter pour éviter la question de sa succession et en même temps une éventuelle nouvelle guerre de Sécession.
Pourquoi Maxime Bono a-t-il attendu pour officialiser sa décision ?
À cette question, il répond : "Il fallait dépasser l'épisode des législatives. J'ai tenté de rapprocher les points de vue pour donner une chance au rassemblement. J'aurai, bien entendu, préféré pouvoir annoncer ma décision une fois celui-ci réalisé autour d'un projet, d'une équipe et d'une tête de liste. Mais à un an de l'échéance du printemps 2014, cela n'est pas encore possible. Il est donc temps de laisser celles et ceux qui souhaitent se déclarer défendre leur candidature."
Le rassemblement
Maxime Bono a oeuvré, pendant des semaines et même des mois en faveur d'un consensus pour réaliser le rassemblement. "J'ai d'abord fait le tour pour voir si c'était possible, je constate que ce n'était pas la bonne méthode". Quand on lui demande si son objectif était d'arriver à le trouver autour d'une seule candidature à l'investiture du P.S, celle de Jean-François Fountaine, il préfère nuancer.
"Je suis convaincu que la bonne personne pour mener la liste de gauche lors de l'élection municipale de 2014 à La Rochelle est celle qui sera capable de rassembler et effectivement, je pensais que Jean-François Fountaine pouvait avoir ces qualités de rassembleur.
Jean-François Fountaine a annoncé dès l'été 2012 prendre les dispositions nécessaires, au sein de son entreprise, pour se rendre disponible pour l'échéance électorale, toujours sans faire acte officiel de candidature.
Du point de vue de Maxime Bono, pour qu'une candidature rassemble, il faut au sein de son propre parti politique "tâter le terrain", faire des gestes, surtout aller voir et convaincre celles et ceux dont le soutien n'est pas acquis. Et en la matière, s'il reste encore du chemin à parcourir, tout est encore possible.
Candidature(s)
Le nom de Nanou Jaumouillié notamment est déjà sur toutes les lèvres.
S'il ne donne aucun nom, Maxime Bono est convaincu que, en plus de celle de Jean-François Fountaine, plusieurs candidat(e)s à la candidature à l'investiture du Parti socialiste, vont se déclarer très rapidement, après l'annonce officielle de son retrait, le 10 mai 2013. Ils et-ou elles devront alors se rapprocher de tous les partenaires de gauche du P.S. "Toutes ces candidatures n'iront pas au bout. Cela va décanter", note-t-il.
Aux militants de tous les courants, Maxime Bono explique : "Il vous appartient désormais de choisir la personne qui devra représenter le Parti Socialiste et rassembler autour d'elle la gauche toute entière". Les mettant face à leurs responsabilités il souligne avec fermeté : "ce rassemblement est possible. Il suffit pour cela d'avoir en tête l'intérêt de La Rochelle et lui seul".
Je soutiendrai ceux et celles qui sauront se monter les plus rassembleurs et feront les efforts nécessaires en ce sens.
Je sais d'expérience que ce n'est pas toujours facile. Il faut faire des concessions, ne pas créer de situations qui pourraient être perçues comme des humiliations, trouver un accord et un rapport de forces équilibrés.
Une tête de liste doit savoir s'entourer. Je crois qu'une bonne liste doit être "composite", refléter une diversité de parcours et de qualités, associer à la fois l'expérience et le renouvellement des générations. J'ai eu cette démarche quand j'étais premier adjoint de Michel Crépeau en ouvrant à l'époque la liste à de nouvelles personnalités comme Denis Leroy ou Jean-Pierre Mandroux, puis Jack Dillenbourg et Jean-François Fountaine.
Primaire interne vs primaire ouverte
Lors d'une réunion de section du P.S à La Rochelle, tout début mars 2013, Jean-François Fontaine a émis l'idée que le choix du candidat pourrait se faire sous une autre forme que la désignation par les militants, en l'élargissant à une primaire citoyenne ouverte comme pour le choix du candidat P.S à la présidentielle. Une option alors déjà écartée et qui, pour Maxime Bono, ne serait pas très habile au regard de l'opinion. "Je ne suis pas certain que les Rochelais apprécieraient de se déplacer pour ça, note-t-il. Cela demande une grosse organisation qui, si elle peut être envisagée pour de très grandes villes comme Lyon ou Paris, semble démesurée pour La Rochelle."
Concernant l'investiture par la section locale, s'il faut une primaire interne, elle se fera, précise le futur ex-maire. Ensuite, la liste qu'elle soit unique ou issue de cette primaire, devra être approuvée dans sa globalité, c'est-à-dire chacun des noms. Et si nécessaire, elle devra être révisée, jusqu'à sa validation.
La liste peut aussi être désignée par le bureau national... Mais là, on image mal "Paris" prendre la décision de réitérer un "législative" bis à La Rochelle.
Respecter les règles : une fois le-la candidat(e) désigné(e), il faut bien entendu respecter le choix de son parti.
2013 - 2014
En tant que maire, je vais m'attacher à bien faire fonctionner les institutions, la Ville et la Communauté d'Agglomération. Et bien entendu, de créer les conditions, pour 2014, d'un débat et d'une campagne démocratiques, pour tous les candidats, de tous bords.
Le bilan
Sur le fond, rappelle Maxime Bono, les grands dossiers de la mandature sont aboutis : l'extension du port de plaisance, le dossier du quartier gare avec le pôle d'échange est bouclé. Pour les projets, il appartiendra à la prochaine équipe de s'en emparer. Ce n'est pas à moi de me prononcer. J'aimerai juste que le dossier du port de pêche ne soit pas refermé.
S'il a annoncé son départ, le maire et président de la CdA est toujours à la barre et ne prendra sa "retraite" municipale et communautaire que dans un an. Nous aurons le temps de revenir sur les faits marquants de ses mandatures et de faire l'inventaire avec lui dans les prochains mois. En attendant l'équipe de Célà TV abordera avec le maire ces questions dans un entretien qui sera diffusé plusieurs fois les 10, 11 et 12 mai 2013 sur le canal 30 de la TNT, sur internet et tablette.
L'après-mairie ?
S'il n'a pas arrêté de "feuille de route", Maxime Bono sait qu'il ne s'ennuiera pas et qu'il pourra enfin profiter pleinement de La Rochelle. Du côté des plaisir simples, il rêve de prendre tranquillement un café sur le port le matin. Il appréciera aussi de pouvoir consacrer de nombreuses soirées à la riche programmation artistique et culturelle rochelaise.
Par ailleurs, Maxime Bono préside depuis le 18 janvier 2013 le bureau du CNML, Conseil national de la mer dont il est membre au sein du collège des élus. La décision quant à la poursuite cette mission à l'issue de son mandat reviendra, rappelle-t-il, au président du CNML, c'est-à-dire au Premier ministre.
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À celles et ceux qui, dans les cercles avertis, auraient la mémoire courte ainsi qu'aux citoyens qui ne sont pas toujours dans les confidences, rappelons que Maxime Bono s'interroge depuis longtemps sur la pertinence d'un troisième mandat. Il a souvent été question de son âge, calculant que, né en 1947, il aurait plus de 70 ans à la fin de celui-ci. Trop tard, selon lui pour reprendre sa liberté.
En 2014, il aura consacré 32 ans à "faire la course en tête" avec et pour La Rochelle. Il lui semble aujourd'hui qu'il est temps de refermer ce grand chapitre de sa vie. Celui d'une aventure humaine et politique partagée avec les Rochelais depuis qu'en 1982 il a rejoint Michel Crépeau avant de devenir son premier adjoint en 1989 et de lui succéder à sa disparition en 1999. En 2001 et en 2008, c'est au premier tour qu'il est élu, puis réélu maire de La Rochelle.
Dans son message aux militants du P.S, la principale raison qu'il invoque pour expliquer son retrait est : "qu'il faut savoir arrêter même les tâches les plus passionnantes", lesquelles "n'arrêtent pas le temps qui passe". Il rappelle aussi que : "conduire une ville demande une immense énergie si l'on ne veut pas voir décliner la capacité à imaginer, à dialoguer, à innover". Concluant ce passage par : "La Rochelle mérite de faire encore longtemps la course en tête". Il estime donc que le temps de la transmission, du passage de témoin est arrivé.
Législatives 2012 : l'impact du duel à gauche
Dans la 1ère circonscription de Charente-Maritime où Maxime Bono qui ne briguait pas un nouveau mandat de député au mois de juin 2012, un duel fratricide a opposé deux figures du P.S. Ségolène Royal, candidate officielle, désignée par le parti et Olivier Falorni, candidat dissident, ex-Premier secrétaire fédéral qui l'a largement emporté.
Au sein de la section locale du Parti socialiste, il semble qu'il faut encore un peu de temps pour cicatriser les plaies ouvertes lors de ce rude face-à-face. Pour certain(es), "les couteaux dans le dos piquent encore".
Reste que la décision de Maxime Bono est plus déconnectée de cet "épisode" épineux qu'on voudra sûrement le faire croire. Celui-ci aurait même pu l'amener à la modifier. Nombre de Ségolénistes ou anti-Fountaine et anti-Falornistes ont tenté, jusqu'aux derniers jours, de le convaincre de se représenter pour éviter la question de sa succession et en même temps une éventuelle nouvelle guerre de Sécession.
Pourquoi Maxime Bono a-t-il attendu pour officialiser sa décision ?
À cette question, il répond : "Il fallait dépasser l'épisode des législatives. J'ai tenté de rapprocher les points de vue pour donner une chance au rassemblement. J'aurai, bien entendu, préféré pouvoir annoncer ma décision une fois celui-ci réalisé autour d'un projet, d'une équipe et d'une tête de liste. Mais à un an de l'échéance du printemps 2014, cela n'est pas encore possible. Il est donc temps de laisser celles et ceux qui souhaitent se déclarer défendre leur candidature."
Le rassemblement
Maxime Bono a oeuvré, pendant des semaines et même des mois en faveur d'un consensus pour réaliser le rassemblement. "J'ai d'abord fait le tour pour voir si c'était possible, je constate que ce n'était pas la bonne méthode". Quand on lui demande si son objectif était d'arriver à le trouver autour d'une seule candidature à l'investiture du P.S, celle de Jean-François Fountaine, il préfère nuancer.
"Je suis convaincu que la bonne personne pour mener la liste de gauche lors de l'élection municipale de 2014 à La Rochelle est celle qui sera capable de rassembler et effectivement, je pensais que Jean-François Fountaine pouvait avoir ces qualités de rassembleur.
Jean-François Fountaine a annoncé dès l'été 2012 prendre les dispositions nécessaires, au sein de son entreprise, pour se rendre disponible pour l'échéance électorale, toujours sans faire acte officiel de candidature.
Du point de vue de Maxime Bono, pour qu'une candidature rassemble, il faut au sein de son propre parti politique "tâter le terrain", faire des gestes, surtout aller voir et convaincre celles et ceux dont le soutien n'est pas acquis. Et en la matière, s'il reste encore du chemin à parcourir, tout est encore possible.
Candidature(s)
Le nom de Nanou Jaumouillié notamment est déjà sur toutes les lèvres.
S'il ne donne aucun nom, Maxime Bono est convaincu que, en plus de celle de Jean-François Fountaine, plusieurs candidat(e)s à la candidature à l'investiture du Parti socialiste, vont se déclarer très rapidement, après l'annonce officielle de son retrait, le 10 mai 2013. Ils et-ou elles devront alors se rapprocher de tous les partenaires de gauche du P.S. "Toutes ces candidatures n'iront pas au bout. Cela va décanter", note-t-il.
Aux militants de tous les courants, Maxime Bono explique : "Il vous appartient désormais de choisir la personne qui devra représenter le Parti Socialiste et rassembler autour d'elle la gauche toute entière". Les mettant face à leurs responsabilités il souligne avec fermeté : "ce rassemblement est possible. Il suffit pour cela d'avoir en tête l'intérêt de La Rochelle et lui seul".
Je soutiendrai ceux et celles qui sauront se monter les plus rassembleurs et feront les efforts nécessaires en ce sens.
Je sais d'expérience que ce n'est pas toujours facile. Il faut faire des concessions, ne pas créer de situations qui pourraient être perçues comme des humiliations, trouver un accord et un rapport de forces équilibrés.
Une tête de liste doit savoir s'entourer. Je crois qu'une bonne liste doit être "composite", refléter une diversité de parcours et de qualités, associer à la fois l'expérience et le renouvellement des générations. J'ai eu cette démarche quand j'étais premier adjoint de Michel Crépeau en ouvrant à l'époque la liste à de nouvelles personnalités comme Denis Leroy ou Jean-Pierre Mandroux, puis Jack Dillenbourg et Jean-François Fountaine.
Primaire interne vs primaire ouverte
Lors d'une réunion de section du P.S à La Rochelle, tout début mars 2013, Jean-François Fontaine a émis l'idée que le choix du candidat pourrait se faire sous une autre forme que la désignation par les militants, en l'élargissant à une primaire citoyenne ouverte comme pour le choix du candidat P.S à la présidentielle. Une option alors déjà écartée et qui, pour Maxime Bono, ne serait pas très habile au regard de l'opinion. "Je ne suis pas certain que les Rochelais apprécieraient de se déplacer pour ça, note-t-il. Cela demande une grosse organisation qui, si elle peut être envisagée pour de très grandes villes comme Lyon ou Paris, semble démesurée pour La Rochelle."
Concernant l'investiture par la section locale, s'il faut une primaire interne, elle se fera, précise le futur ex-maire. Ensuite, la liste qu'elle soit unique ou issue de cette primaire, devra être approuvée dans sa globalité, c'est-à-dire chacun des noms. Et si nécessaire, elle devra être révisée, jusqu'à sa validation.
La liste peut aussi être désignée par le bureau national... Mais là, on image mal "Paris" prendre la décision de réitérer un "législative" bis à La Rochelle.
Respecter les règles : une fois le-la candidat(e) désigné(e), il faut bien entendu respecter le choix de son parti.
2013 - 2014
En tant que maire, je vais m'attacher à bien faire fonctionner les institutions, la Ville et la Communauté d'Agglomération. Et bien entendu, de créer les conditions, pour 2014, d'un débat et d'une campagne démocratiques, pour tous les candidats, de tous bords.
Le bilan
Sur le fond, rappelle Maxime Bono, les grands dossiers de la mandature sont aboutis : l'extension du port de plaisance, le dossier du quartier gare avec le pôle d'échange est bouclé. Pour les projets, il appartiendra à la prochaine équipe de s'en emparer. Ce n'est pas à moi de me prononcer. J'aimerai juste que le dossier du port de pêche ne soit pas refermé.
S'il a annoncé son départ, le maire et président de la CdA est toujours à la barre et ne prendra sa "retraite" municipale et communautaire que dans un an. Nous aurons le temps de revenir sur les faits marquants de ses mandatures et de faire l'inventaire avec lui dans les prochains mois. En attendant l'équipe de Célà TV abordera avec le maire ces questions dans un entretien qui sera diffusé plusieurs fois les 10, 11 et 12 mai 2013 sur le canal 30 de la TNT, sur internet et tablette.
L'après-mairie ?
S'il n'a pas arrêté de "feuille de route", Maxime Bono sait qu'il ne s'ennuiera pas et qu'il pourra enfin profiter pleinement de La Rochelle. Du côté des plaisir simples, il rêve de prendre tranquillement un café sur le port le matin. Il appréciera aussi de pouvoir consacrer de nombreuses soirées à la riche programmation artistique et culturelle rochelaise.
Par ailleurs, Maxime Bono préside depuis le 18 janvier 2013 le bureau du CNML, Conseil national de la mer dont il est membre au sein du collège des élus. La décision quant à la poursuite cette mission à l'issue de son mandat reviendra, rappelle-t-il, au président du CNML, c'est-à-dire au Premier ministre.
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Réagir : contacter Nathalie Métayer - ubacto.com - Publié le : 10-Mai-2013